Je veux rester tranquille.
Huile sur toile.
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Jean-Paul THAERON s'attache
à ne poser à la peinture que les questions par elle seule
envisageables : la surface, le creusement de la croûte affleurante,
le texte.
Sur la carlingue des navires, enfant, l'attiraient
les mots écrits, les lettres du nom, les chiffres de l'immatriculation
: mots peints sur une surface peinte. Signe aussi que ses sculptures,
ponctuation de l'herbe et du ciel, accents très aigus sur l'asphalte
des places. |
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